La protection de vitraux d’art : notre spécialité

L’Atelier Jean Salmon s’est fait une spécialité dans le domaine de la protection des vitraux. Une grande campagne d’information et de prévention de la détérioration des vitraux notamment dans le domaine public et religieux a été lancée l’an passé auprès de toutes les communes de l’Est de la France.

Fort de son expérience, l’Atelier propose des protections dans deux grandes familles, adaptées soit aux besoins des particuliers, soit aux exigences du domaine public et religieux ou pour tout ce qui relève des bâtiments classés monuments historiques.

1. Pour le particulier :

Depuis une trentaine d’année les vitraux des particuliers sont le plus souvent insérés dans des doubles vitrages. Ce qui participe à leur protection et leur donne une valeur ajoutée en terme d’isolation phonique et thermique.

Un verre anti-effraction peut, quant à lui, s’il est posé sur la face extérieure du vitrail, assurer une protection contre le vol, les intempéries ou le vandalisme. Il sera soit en verre feuilleté, soit en verre organique, ou encore en verre « sécurit ». Dans certaines situations les deux faces seront traitées pour des raisons de normes de sécurité, dans le cas de porte-fenêtre ou de garde-corps par exemple.
Ces doubles vitrages seront alors posés dans des structures en bois, en acier thermo-laqué, en alu ou en PVC. Le choix se fera alors en accord avec une logique architecturale d’ensemble.

2. Pour le domaine public et religieux et bâtiments classés :

Les exigences des Bâtiments de France ou des Monuments Historiques seront respectées scrupuleusement.

Les vitraux des chapelles, des églises, des cathédrales, des châteaux, des édifices publics et classés seront protégés par la pose de protections grillagées en cuivre, en laiton, en inox ou en acier galvanisé. Ce qui correspond aux normes particulières des monuments classés.
Nous pourrons également utiliser, comme chez le particulier, d’autres solutions adaptées telles que la pose de verre sécurit, de verre feuilleté ou organique.

Ces protections seront alors placées contre le vitrail avec des pattes de fixation ou dans des cadres en ossature d’acier, sur des barlotières ou encore en double vitrage. Ces configurations qui utilisent des techniques modernes sont exclues des édifices religieux anciens pour des raisons de normes esthétiques imposées par les Monuments Historiques.

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